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Medias, informations ou désinformations ?

Ecoutez les informations ?

Médias : sources d’information… ou de manipulation ?

Par habitude ou par souci de rester informé, beaucoup d’entre nous allument la télévision à l’heure du journal ou écoutent les bulletins d’information à la radio. Pourtant, il est essentiel de comprendre que ces moments ne sont pas aussi neutres qu’ils le paraissent.

Chaque minute passée devant un écran à consommer ce type de contenu peut entraîner une diminution notable de votre énergie vitale et, par conséquent, un affaiblissement immédiat de votre système immunitaire.

La télévision, loin de toujours informer, véhicule souvent une vision orientée et maintient le spectateur dans une dépendance à un flux d’actualités savamment construit, souvent au service de stratégies politiques. La véritable connaissance ne se transmet pas par le petit écran.

À titre d’exemple, le générique du journal télévisé de TF1 s’inspire des bases musicales du film Les Dents de la mer. Ce choix n’est pas anodin : il induit inconsciemment un état de tension et de stress chez le téléspectateur, qui, sous l’effet de cette émotion, se retrouve encore plus avide d’écouter la suite du programme.

Peurs créées de toutes pièces

Médias : alliés ou voleurs d’énergie ?

Qui n’a jamais allumé la télé “juste pour voir les infos” ? On s’installe, on écoute les nouvelles à la radio ou on regarde le journal télévisé… persuadés de rester informés. Pourtant, derrière cette habitude anodine, se cache une réalité moins connue : chaque minute passée devant ces images peut épuiser votre énergie vitale, affaiblir votre immunité et, surtout, nourrir un climat de peur permanent.

La peur, carburant des médias

Regarder chaque jour des images de guerres, de catastrophes ou de drames installe dans notre esprit l’idée que tout cela est inévitable. Les médias savent très bien jouer sur nos émotions : l’exemple le plus frappant ? Le générique du journal télévisé de TF1, calqué sur les notes menaçantes du film Les Dents de la mer, pour créer un stress immédiat… et vous pousser à rester.

Quand la télé s’invite à table

Allumer la télévision pendant le repas, c’est laisser les images dicter notre attention. On perd la conscience de ce que l’on mange, on échange moins, et peu à peu, les moments partagés en couple ou en famille deviennent une simple routine silencieuse.

En médecine chinoise, c’est la rate qui assure l’assimilation de nos aliments. Mais sous stress ou soucis, elle fonctionne mal. Résultat : notre digestion se dégrade, et avec elle, notre moral et notre vitalité. Rappelons-le : notre premier “cerveau”, c’est notre système digestif.

Reprendre le contrôle

 L’idéal : rester dans un état de tranquillité, vigilant mais paisible. Dans cette posture, les informations vraiment utiles vous parviendront au bon moment, sans que vous ayez à vous noyer dans un flot d’images anxiogènes.

Pour aller plus loin, je vous invite à découvrir la liste des stratégies de manipulation médiatique de Noam Chomsky : un outil précieux pour décoder ce que l’on vous montre… et ce que l’on vous cache.

Changeons notre regard

Elle détaille l’éventail, depuis la stratégie de la distraction en passant par la stratégie de la dégradation, jusqu’à maintenir le public dans l’ignorance et la médiocrité.

1) La stratégie de la distraction

C’est l’élément primordial du contrôle social, qui consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des multiples lois votées par les élites politiques. Cette stratégie de la diversion est un élément essentiel pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances nécessaires. Garder le public occupé, occupé, occupé... sans aucun temps pour penser par lui-même.

2) Créer des problèmes, puis ofrir des solutions

Le public va donc réagir aux problèmes inventés et être demandeur des mesures que le gouvernement souhaite lui faire accepter. Par exemple, créer une épidémie d’une maladie X afin de faire accepter un vaccin commandé aux laboratoires pharmaceutiques par le gouvernement quelques mois avant. Diaboliser un moustique et le rendre coupable d’une épidémie pour que le peuple accepte avec plaisir de se faire intoxiquer par des insecticides très dangereux. Ou encore créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

3) La dégradation

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de la faire accepter progressivement sur une durée de dix ans. Chômage massif, précarité, lexibilité, délocalisations, salaires ne permettant plus de vivre décemment.

4) Le différé

Le différé est une autre façon de faire accepter une décision impopulaire, en la présentant comme douloureuse mais nécessaire, pour obtenir l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Cela laisse du temps au public pour s’habituer au changement et l’accepter avec résignation, lorsque le moment sera venu.

5) S’adresser au public comme à des enfants en bas âge ou presque comme à un attardé mental

Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Cela aura pour effet de faire réagir le public comme un enfant, sans qu’il ait pu développer un sens critique.

6) Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la rélexion

C’est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle. De plus, l’utilisation de l’émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions ou des comportements.

7) Maintenir le public dans l’ignorance

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle.

8) Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l’individu qu’il est le seul responsable de son malheur à cause de l’insuisance de son intelligence, de ses capacités ou de ses efforts. Ceci entraîne un état dépressif qui amène à une inhibition de l’action. Sans action, pas de révolution !

9) Connaître les individus mieux qu’ils se connaissent eux-mêmes

Grâce à la biologie, la neurobiologie, la psychologie appliquée, le système est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Il détient donc un contrôle et un pouvoir sur les individus qu’eux-mêmes ne détiennent pas.

Par conséquent, le système ne veut surtout pas que les individus puissent provoquer des changements et reprendre leur pouvoir.

Nous pensions être informés, mais réléchissons avec recul et discernement.
Il est très difficile de remettre en question ce qui est annoncé au journal télévisé. La manipulation est suffisamment bien faite pour que l’être humain qui le regarde ne réagisse pas. Toutes ces manipulations ont pour but de nous maintenir dans un climat de peur et d’inconscience. Le peuple a donc besoin d’un système de sécurité illusoire et ne peut sortir de cette situation aliénante.
Par ailleurs, nous acceptons également le plus souvent d’être considérés comme des enfants qui doivent être punis ou récompensés. Agissant le plus souvent comme de bons citoyens, nous répondons à ce système en ayant peur de tout.

Extrait du livre "Notre réalité une illusion" de Marion Le Troquer

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